Chimie
Transformer les déchets organiques en protéines à l’aide de larves de mouche
Des chercheurs de l’Université technique (TU) de Dresde (Saxe) se sont intéressés à une technique originale de conversion de la biomasse : élever industriellement des larves de mouches tropicales pour décomposer la biomasse végétale.
Lire la suiteLe Filtre V-EcoTech, une technologie écologique de traitement des eaux souterraines
Une équipe de scientifiques du Centre Helmholtz pour la recherche environnementale (UFZ) de Leipzig (Saxe) travaille depuis plusieurs années au développement d’un procédé de remédiation des nappes phréatiques de contaminants pétrochimiques tels que le MTBE [1] et la famille des BTEX [2].
Lire la suiteCarbo-Iron : un traitement in situ des nappes phréatiques polluées par additifs
Depuis plusieurs années, le Centre Helmholtz pour la recherche environnementale (UFZ) de Leipzig (Saxe) travaille sur un procédé portant le nom de Carbo-Iron pour purifier les eaux d’aquifères pollués par des hydrocarbures chlorés in-situ, c’est-à-dire sans avoir à pomper l’eau en surface.
Lire la suiteSur la voie de la photosynthèse artificielle
Les scientifiques du Centre Helmholtz pour les matériaux et l’énergie (HZB) de Berlin étudient un catalyseur à base de manganèse permettant la conversion de la lumière en énergie chimique. Ils viennent de franchir une étape importante en définissant avec précision les différents états des électrons dans ce dispositif innovant, permettant ainsi une meilleure compréhension de la photosynthèse artificielle.
Lire la suiteUn nouveau matériau entièrement étanche
Le Dr. Bastian Rapp de l’institut pour les microstructures (IMT) de l’institut de technologie de Karlsruhe (KIT, Baden-Wurtemberg) a mis au point en laboratoire un nouveau matériau justifiant de ce qu’il appelle, par bio-mimétisme, l’effet lotus 2.0 : l’eau comme les huiles perlent systématiquement à sa surface sans la moindre absorption.
Lire la suiteActualités sur la bioraffinerie de Leuna
Le Centre Fraunhofer pour les processus chimiques et biotechnologiques (CBP) de Leuna (Saxe-Anhalt) a développé au cours des quatre dernières années une installation pilote de bio-raffinage du bois pour la production de lignine permettant la synthèse de polyuréthane, de résine ou encore de mousses. Si des optimisations restent encore à faire, la viabilité technique à plus grande échelle tout comme la rentabilité du procédé devraient être atteintes dans la phase ultérieure du développement d’un procédé industriel.
Lire la suiteNouvelle coopération dans la recherche en chimie pharmaceutique
Le Centre Helmholtz pour la santé et l’environnement de Munich (HMGU, Bavière) et l’Université Leibniz de Hanovre (LUH, Basse-Saxe) ont signé, le 3 février 2014, un accord de coopération dans le domaine de la recherche en chimie pharmaceutique. Ce partenariat vise notamment à mutualiser leurs ressources en matière de recherche, d’enseignement et de formation.
Lire la suitePerspectives en bioéconomie: défis et solutions pour l’avenir” le 27 février 2014 à Ambassade de France à Berlin
L’atelier bilatéral franco-allemandorganisé conjointement par le Service pour la Science et la Technologie (SST) de l’Ambassade de France à Berlin, ainsi que par son partenaire, le cluster dédié aux biotechnologies : BioTOP Berlin-Brandenburg se déroulera le 27 février 2014, de 9h00 à 17h00 á Ambassade de France, Pariser Platz 5, 10117, Berlin .
L’objectif de la manifestation est de faire l’état des lieux de la recherche européenne dans ce domaine, et de développer la synergie franco-allemande entre chercheurs et entreprises.
Lire la suiteUne nouvelle manière de produire de l’hydrogène ?
Des scientifiques de l’Institut Max Planck de conversion chimique de l’énergie (MPI CEC) de Mülheim (Rhénanie du Nord-Westphalie) et de l’Université de la Ruhr à Bochum (RUB – Rhénanie du Nord-Westphalie) ont réussi à produire des hydrogénases [1] à fer semi-synthétiques. Ils espèrent ouvrir la voie à une production plus propre de dihydrogène.
Lire la suitePourquoi le mercure est-il liquide à température ambiante ?
Une équipe de l’Université Ruprecht Karls d’Heidelberg (Bade-Wurtemberg) associée à des chercheurs néo-zélandais et français a, dans un article publié dans la revue « Angewandte Chemie » [1], détaillé une analyse du mercure basée sur des simulations numériques. Cette analyse explique, grâce à la théorie de la relativité restreinte, comment la structure électronique de ce métal lui permet d’être liquide à des températures ambiantes.
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