Un cursus en « sciences informatiques de l’automobile » à l’université des sciences appliquées de Landshut

Nul ne peut ignorer aujourd’hui le fait que les logiciels ou « software » soient de plus en plus présents dans l’industrie automobile. En quelques années, le développement des véhicules a radicalement changé. En effet, les châssis ou moteurs qui auparavant n’étaient pas associés à l’électronique sont aujourd’hui connectés d’une manière ou d’une autre à des systèmes électroniques. Outre les ingénieurs en électrotechnique, les développeurs de logiciels, en tant qu’architectes des fonctions automobiles sont de plus en plus indispensables

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Sur la voie de la smart-home sécurisée

Dans les bâtiments, de plus en plus de fonctionnalités peuvent être commandés via Internet : volets, appareils de chauffage et systèmes de verrouillage. La « h » promet une gestion efficace des habitations, mais peut également constituer de nouveaux terrains de jeux pour les pirates informatiques. Des chercheurs de la société Fraunhofer travaillent à la conception d’un logiciel qui bloquera les attaques avant qu’elles n’atteignent les systèmes connectés dans les habitations.

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Pour une logistique du fret aérien plus efficace

D’après l’Organisation de l’aviation civile internationale, 40 millions de tonnes de fret sont embarquées dans des avions chaque année, partout dans le monde. La sécurité apparait comme une priorité absolue dans la logistique du fret aérien. Des chercheurs de la société Fraunhofer ont l’intention de renforcer l’efficacité de ces contrôles par une nouvelle approche de la logistique numérique.

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Cyber-sécurité : nouveau logiciel de protection contre les scans de ports

Les balayeurs de ports sont des programmes qui parcourent le web en recherchant les ports ouverts, donc vulnérables, sur un serveur de réseau. Dans le cadre des récentes révélations de cyber-espionnage massif, un tel logiciel aurait été utilisé. Une équipe de l’Université technique de Munich (TUM, Bavière) a développé un logiciel de défense contre ce type d’attaques.

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Une solution de recharge des voitures électriques par induction

ans les appareils de la vie quotidienne, la tendance est à la disparition des câbles téléphoniques ou électriques. Pour les véhicules électriques, des chercheurs de l’Institut Fraunhofer pour les systèmes intégrés et la technologie des composants (IISB) d’Erlangen (Bavière) travaillent au développement d’un système de recharge par induction destiné au grand public.

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Nouveau site en ligne consacré aux « vitrines régionales de l’électromobilité »

Une nouvelle page web http://www.schaufenster-elektromobilitaet.org a été lancée le 15 août 2014. Elle fournit des informations sur tous les projets et les résultats des quatre « Vitrines régionales de l’électromobilité » lancées par le gouvernement fédéral [1]. L’objectif de la mesure  » Vitrines régionales de l’électromobilité » est de regrouper les compétences existant en Allemagne dans le domaine des véhicules électriques, de l’énergie et des systèmes de transport, afin de mettre au point et de tester des démonstrateurs et projets pilotes à grande échelle régionale. En particulier, les vitrines pourront rendre la mobilité électrique visible auprès des citoyens, afin qu’ils puissent l’expérimenter. En outre, cette mesure de financement apporte une contribution importante à la réalisation de l’objectif visé conjointement par le gouvernement fédéral et l’industrie, d’instaurer d’ici à 2020 au moins un million de véhicules électriques sur les routes allemandes.

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Coopération germano-américaine en recherche sur la mobilité

L’Institut Fraunhofer d’ingénierie industrielle (IAO) de Stuttgart (Bade-Wurtemberg) et le SENSEable City Lab du MIT de Boston ont débuté une collaboration sur le thème de la mobilité du futur. Un laboratoire commun, baptisé « Ambient Mobility Lab », a été inauguré les 9 et 10 juillet 2014 à Stuttgart.

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Une nouvelle « cape d’invisibilité » par des chercheurs du KIT

Ces dernières années, différents types de matériaux agissant en tant que « cape d’invisibilité » ont été développés. Suivant les applications, ces matériaux peuvent être « transparents » à la lumière, à la chaleur ou au son. Une équipe du KIT vient de développer une « cape » qui, cette fois, dissimule un objet qui ne sera pas ressenti en surface du matériau et ne sera pas détectable par des appareils de mesure de force.

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