Les récepteurs responsables d’une réponse immunitaire rapide et fiable

« Attention danger » semble signaler la molécule lorsqu’elle détecte la présence de substances extérieures au corps humain. Le système immunitaire fonctionne ainsi : dès que le génome d’un virus ou d’une bactérie est repéré, des récepteurs, les TLR [1], reconnaissent des motifs moléculaires uniquement présents chez ces micro-organismes pathogènes. Les chercheurs du Centre Helmholtz sur les maladies infectieuses (HZI, Basse-Saxe), ont étudié un récepteur particulier, le TRL9, et ont prouvé qu’il ne reconnaît pas seulement l’ADN étranger mais fournit également des informations sur le lieu de présence d’agents infectieux.

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Une enzyme apportant une meilleure élasticité aux fibres cardiaques

Wolfgang Linke et son équipe de l’Institut de physiologie de l’Université de la Ruhr, basé à Bochum (Rhénanie-Du-Nord-Westphalie), s’intéressent aux mécanismes intervenant dans l’insuffisance cardiaque, et plus particulièrement aux protéines impliquées dans la constitution du muscle cardiaque. Chez les personnes souffrant de ces insuffisances, le sang ne circule pas à un niveau et une pression adéquats dans le corps. Les chercheurs souhaitent montrer l’implication de la phosphorylation d’une enzyme, la CaM-Kinase II : « La phosphorylation de la protéine connectine [1] pourrait être un point de départ pour la thérapie de l’insuffisance cardiaque », explique M. Linke.

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Nouvel institut de radio-oncologie à Dresde

Un nouvel Institut de radio-oncologie a ouvert ses portes au Centre Helmholtz de Dresde-Rossendorf (HZDR, Saxe) le 1er janvier 2013. Michael Baumann, chef de la radiothérapie et de l’oncologie à l’hôpital universitaire de Dresde et porte-parole du Centre OncoRay, en a été nommé directeur. L’institut est composé de quatre départements. Il est hébergé sur le campus de l’hôpital universitaire de Dresde, et comportera une installation de proton-thérapie pour traiter les tumeurs malignes.

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La méthylation du génome : une nouvelle piste pour la lutte contre le cancer

Différentes études ont prouvé que l’altération de la méthylation de l’ADN [1] est un processus impliqué dans le développement du cancer. En effet, dès lors que ce processus est altéré, l’apoptose, qui est le suicide cellulaire programmé, ne se déclenche pas, et la cellule devient alors cancérigène. C’est dans des régions spécifiques du génome, nommées « îles CpG », hôte du processus de méthylation que les travaux de recherche sont menés.

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Le développement des neurites au sein des cellules nerveuses

A la suite de recherches communes entre les chercheurs du Centre allemand pour les maladies neurodégénératives (DZNE [1]) de Bonn (Rhénanie-du-Nord-Westphalie), et de l’Institut Max-Planck de Martinsried (Bavière), deux protéines ont été identifiées comme étant impliquées dans la formation des protubérances cellulaires, également dénommées neurites.

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Atelier franco-allemand sur la dynamique des tissus et les systèmes multicellulaires

La Faculté de physique et géophysique de l’Université de Leipzig (Saxe), sous l’impulsion de Claus Fütterer, en collaboration avec l’Institut Curie, représenté notamment par Françoise Brochard-Wyart et Jacques Prost, a été le cadre d’une conférence franco-allemande sur le thème de la dynamique cellulaire et ses applications médicales en médecine régénératrice.

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Une alternative aux essais sur les animaux pour déterminer la toxicité des substances

Le Ministère fédéral de l’alimentation, de l’agriculture et de la protection du consommateur (BMELV), en partenariat avec l’Institut fédéral d’évaluation des risques (BfR), a remis à Ralf Herwig le 31ème prix de la recherche pour la protection des animaux. Ce chercheur, issu de l’Institut de génétique moléculaire Max-Planck à Berlin, est récompensé pour ses travaux ouvrant la voie à un nouveau modèle de détermination de la toxicité des substances chimiques dans le foie, ce procédé pouvant se substituer aux essais sur les animaux.

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Nouvelle thérapie contre les dysplasies osseuses

Une collaboration rassemblant des chercheurs universitaires et extra-universitaires a ouvert la voie à un possible traitement de différentes maladies osseuses.

Une équipe de la clinique universitaire Carl Gustav Carus de Dresde (Saxe), dirigée par Lorenz Hofbauer (clinique médicale et polyclinique III) et Christine Hamann (clinique orthopédique), travaille actuellement sur un moyen de limiter ces pathologies. Ces chercheurs collaborent avec leurs collègues du Centre Max Bergmann de l’Université technique de Dresde et avec l’un des leaders de l’industrie des biotechnologies médicales, Amgen.

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