Le neurologue James Poulet honoré pour l’ensemble de son travail sur le cerveau et son comportement
Le neurologue britannique James Poulet, du Centre Max-Delbrück (MDC [1]) pour la médecine moléculaire à Berlin-Buch (Berlin), a reçu le prix Paul Ehrlich et Ludwig Darmstaedter récompensant ses travaux sur la compréhension du comportement du cerveau. Le prix est accompagné d’une dotation de 60.000 euros. La cérémonie de récompense a eu lieu le jeudi 14 mars à l’église Saint-Paul de Francfort-sur-le-Main (Hesse).
Lire la suiteEnergie hydrolienne : la technologie allemande n’est pas en reste
L’entreprise allemande Siemens continue le développement de ses technologies hydroliennes. Actuellement, l’hydrolienne SeaGen, située dans un détroit de la mer d’Irlande, dispose d’une puissance de 1,2 MW. Le nouveau modèle aura, lui, une puissance de 2 MW. L’entreprise souhaite mettre en place plusieurs de ces nouvelles hydroliennes dans des parcs sous-marins au Pays de Galles ; le gouvernement gallois a déjà autorisé la création d’un parc composé de cinq de ces hydroliennes, pour une centrale électrique de 10 MW, au large de la côte nord-ouest. Il devrait être opérationnel d’ici 2015 et fournir environ 10.000 foyers en électricité.
Lire la suiteCoopération technologique germano-indienne : des piles à combustible à oxyde solide pour une production énergétique décentralisée et abordable
Pour offrir des alternatives énergétiques propres et écologiques à des prix équitables, l’entreprise Mayur REnergy Solutions, dont les sièges sociaux se trouvent à Pune (Inde) et à Boston (Etats-Unis), a signé en janvier de cette année un accord avec l’Institut Fraunhofer des technologies et systèmes céramiques (IKTS), situé à Dresde (Saxe). Ensemble, ils envisagent de développer des piles à combustible à oxyde solide (SOFC) pour les marchés des pays en voie de développement.
Lire la suiteRéseau électrique : une amélioration des procédés de fabrication de composants électroniques à base de carbure de silicium
Avec l’intégration de sources d’énergie renouvelable dans le réseau électrique, les systèmes électroniques, sous la forme d’onduleurs, jouent un rôle de plus en plus important. A l’intérieur des panneaux solaires et des serveurs d’applications, on trouve dès aujourd’hui des onduleurs peu consommateurs d’énergie ou des alimentations électriques renfermant des éléments semi-conducteurs à base de carbure de silicium (SiC).
Lire la suiteLes propriétés des fils d’araignées enfin égalées !
Pour la première fois, des fibres synthétiques possédant des propriétés mécaniques identiques à la soie d’araignée, qui leur confèrent ainsi une résistance à la traction et une extensibilité élevée, ont été commercialisées. Ce nouveau type de fibre ultra résistant, déposé sous le nom de « BioSteel », est un produit de la société AMSilk [1], qui repose en grande partie sur le travail de recherche et de développement du professeur Thomas Scheibel, du département des biomatériaux de l’Université de Bayreuth (Bavière).
Lire la suiteAcoustique : premières mesures de bruit à l’intérieur d’un moteur d’hélicoptère
Pour la première fois, des scientifiques du Centre allemand de recherche aérospatiale (DLR) ont réussi à effectuer des mesures de bruit au sein d’un moteur d’hélicoptère. Les chercheurs du département d’acoustique des moteurs de l’Institut de génie de la propulsion (Berlin) du DLR ont pour cela utilisé des sondes microphones à gaz chaud, spécialement conçues pour l’étude des processus responsables de la génération du son.
Lire la suitePhänomics – une initiative de recherche pour la santé et le bien-être animal en Allemagne
Suite aux recommandations émises par le conseil pour la bio-économie allemand (BioÖkonomieRat[1]) et les annonces d’un budget de 2,4 milliards d’euros pour les six prochaines années (60% sur projets, 40% sur fonds institutionnels pour les organismes)[2], le ministère pour l’enseignement et la recherche (BMBF) a décliné sa stratégie nationale pour la bio-économie et leur vision à 2030[3].
Lire la suiteLe gouvernement fédéral renforce la recherche en sécurité informatique
« Internet des objets » et « Industrie 4.0 » – Ces deux concepts représentent l’interconnexion croissante qui a lieu dans notre vie. La communication entre appareils et machines, appelée « Internet des objets », se développe de plus en plus en tant que base de fonctionnement de nos sociétés industrielles modernes. Les systèmes intelligents connectés, embarqués à bord des machines et des appareils, permettent que ceux-ci communiquent les uns avec les autres de manière autonome, une fonction qui prend de plus en plus d’importance dans de nombreux domaines, notamment la production industrielle ou la télémédecine. Ils rendent possible la mise en place de nouvelles fonctionnalités et de nouveaux modèles économiques. Cette interconnexion croissante accroît cependant le risque que ces réseaux soient la proie de cyber-attaques, qui non seulement causent des dommages financiers conséquents, mais mettent aussi en danger le fonctionnement des équipements techniques.
Lire la suiteValorisation énergétique des déchets poudreux de peinture et de plastique
Peindre des pièces automobiles nécessite beaucoup de peinture, et génère également une importante quantité de déchets ; car seule une fraction de cette peinture se retrouve effectivement sur la carrosserie du véhicule, le reste étant évacué par un système d’aspiration. Le recyclage de cette peinture résiduelle a ses limites : si trop de peinture recyclée est réincorporée dans une peinture neuve, la qualité du résultat s’en trouve affectée. Les entreprises éliminent donc la majorité de la peinture excédentaire – un procédé coûteux. De même, les procédés de broyage génèrent beaucoup de déchets, pour lesquels les entreprises concernées doivent débourser des sommes considérables. En un mot, qu’il s’agisse de peinture en poudre ou de poussière de ponçage, les déchets sont coûteux à éliminer. A l’avenir, les entreprises pourront économiser ces coûts, tout en réduisant les dépenses de chauffage (chauffage de locaux, séchoirs et autres procédés à haute température), et ce grâce à un incinérateur de déchets poudreux.
Lire la suiteLes micro-plastiques : quelle menace pour les organismes marins ?
Une quantité croissante de déchets plastiques est observée dans tous les océans du globe. Ces déchets peuvent rester en mer pendant des siècles, où la force des vagues et la friction avec les rochers et d’autres débris les réduisent en particules toujours plus petites, jusqu’à ce qu’elles ne soient plus même visibles à l’oeil nu. Rendus ainsi invisibles, ces déchets se retrouvent ingérés par un très grand nombre d’organismes marins.
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