Augmenter le débit des réseaux terrestres et mobiles

Les réseaux de communication voient passer toujours plus de données. D’après l’Agence fédérale allemande des réseaux de communications (BNetzA), environ 4,3 millions de gigabits ont été envoyés dans le réseau à haut-débit national en 2012. Quelques 140 millions de gigabits additionnels ont été transmis par les réseaux de communication mobile dans le pays. Avec des générations de standards de téléphonie mobile se succédant rapidement, et l’intensification de l’échange de contenus multimédia, l’infrastructure est soumise à des sollicitations de plus en plus fortes.

Lire la suite

Des centrales « omnivores » pour produire du bio-méthane à la demande

Les centrales au biogaz « idéales » pour l’avenir devront pouvoir intégrer une variété d’intrants : tantôt de la paille, tantôt des déchets ménagers, tantôt du maïs, etc. Peu exigeantes, elles produiront à partir d’une variété de matières premières du méthane pur à faibles coûts d’exploitation. En fonction des besoins en énergie, elles devront également produire du gaz en quantités variables. Ce gaz pourra être injecté directement dans le réseau de gaz naturel, sans traitement préalable.

Lire la suite

Du stockage biologique de l’hydrogène

L’hydrogène est une solution écologique pour l’alimentation énergétique future. Un moyen sûr et efficace de le stocker a été découvert par les scientifiques Kai Schuchmann et Volker Müller, de l’Université Goethe de Francfort-sur-le-Main (Hesse) [1]. Ils ont trouvé à l’intérieur d’une bactérie, une enzyme convertissant l’hydrogène et le dioxyde de carbone en acide formique. A la différence de l’hydrogène gazeux, ce liquide peut être stocké et transporté comme des carburants classiques. L’avantage réside dans le fait que l’hydrogène ne serait reformé qu’au sein d’une pile à combustible sur le lieu même de la consommation. Aussi, l’acide formique peut être utilisé directement pour l’alimentation énergétique d’appareils électroniques tels que les téléphones mobiles.

Lire la suite

A quel point les pesticides sont-ils biodégradables ?

A l’échelle globale, environ 5.000 pesticides différents sont utilisés régulièrement en agriculture. Ceux-ci ont mauvaise presse, en grande partie du fait d’une utilisation inappropriée qui nuit à l’environnement (impact négatif sur la biodiversité, pollution des sols,…). De plus, ils sont susceptibles de porter atteinte à la santé des personnes exposées. Cependant, tous les pesticides n’ont pas un impact néfaste. Par exemple, certains pesticides sont décomposés rapidement dans l’environnement, d’autres plus lentement.

Lire la suite

Conférence sur les biobanques

Les biobanques sont d’une très grande importance pour le développement de la médecine personnalisée, notamment d’un point de vue éthique. Le deuxième colloque national sur les biobanques s’est tenu les 11 et 12 décembre à Berlin. Les biobanques, encore appelées centres de ressources biologiques, rassemblent des collections d’échantillons biologiques d’origine humaine ou microbienne de différentes natures (cellules, sang, AND, microorganismes…) et des informations scientifiques associées.

Lire la suite

Un médicament issu d’un ordinateur…

… cette hypothèse pourrait bien devenir réalité. Au coeur de Berlin se trouve le centre de recherche Matheon [1], au sein duquel Marcus Weber et son équipe ont travaillé pour mettre au point ce principe actif contre la douleur, en coopération avec la Charité.

Lire la suite

L’alliance de recherche Leibniz « Science 2.0 » compte six nouveaux membres

A l’occasion du congrès annuel de la Communauté Leibniz, le 28 novembre 2013 à Berlin, six nouvelles institutions ont rejoint l’alliance de recherche « Science 2.0 ». Cette alliance de recherche cherche à comprendre et à analyser l’impact d’internet et des nouveaux usages numériques (wikis, blogs, réseaux sociaux…) sur les chercheurs, leurs méthodes de travail et le résultat de leur recherche.

Lire la suite

Etat des lieux comparatif dans le domaine des supercalculateurs

Le calcul haute performance constitue un outil fondamental de recherche, poussant l’innovation

technologique vers de nouvelles limites. Les simulations permises ne se bornent pas uniquement aux

industries traditionnellement friandes en ressources (aéronautique, énergie) mais se révèlent utiles

dans d’autres secteurs (simulation de l’activité neuronale ou étude de cosmétiques). Un classement

des machines les plus puissantes, actualisé tous les six mois, donne un aperçu de la répartition des

ressources de calcul au niveau mondial.

Lire la suite